Wookey F1 Challenge story only

Toujours en prévision de Vallelunga, on apprend que le Suisse Pierre Soukry, qui vient d'acheter une McLaren M10 pour participer au championnat de F5000 s'est aussi fait prêter le châssis de F1 M19A/1, désormais le mulet de Hulme pour participer à l'épreuve italienne du Trophée Auto-Sprint.
Il est soutenu par Esso.

Also in anticipation of Vallelunga, we learn that the Swiss Pierre Soukry, who has just bought a McLaren M10 to participate in the F5000 championship has also been loaned the F1 M19A / 1 chassis, now Hulme's mule to participate in the the Italian Auto-Sprint Trophy event.
It is supported by Esso.

La troisième écurie à arriver à Vallelunga est l'équipe Vaillante. Avec une petite surprise : des boites à air flambant neuve équipent les monoplaces de La Jonquière. Dans le plus pur style Vaillante anguleuses et modernistes, elles ont l'air d'avoir été prévues dès l'origine tant elle s'adapte parfaitement à l'esthétique de l'ensemble !

The third team to arrive in Vallelunga is the Vaillante team. With a little surprise: brand new air boxes equip La Jonquière's single-seaters. In the purest Vaillante angular and modernist style, they seem to have been planned from the outset as it adapts perfectly to the aesthetics of the whole!

Gran Premio della Republica Italiana
18 juin 1972 - Vallelunga
80 tours x 3,200 km = 256,000 km

Le GP des Pays-Bas ayant été annulé pour raisons de sécurité, l'automobile club de Rome a obtenu de la CSI la tenue d'une course à Vallelunga. La course est financée par Marlboro Italie, mais les écuries de la F1CA entendent la bouder, sauf bien entendu BRM. Du coup, elle ne compte pas pour le championnat du Monde. Par contre, Auto-Sprint décide de l'inclure dans son Trophée, et une grosse vingtaine de voitures de la COEGPI font le déplacement.

La Scuderia Centro Sud domine les essais qualificatifs, Luigi Mennella s'attribuant la pole position et Steve McQueen la 4ème. Je me hisse sur la première ligne devant Steve Warson. Fittipaldi, Vaillant et Ethuin précédent les Lola-BRM déjà bien compétitives pour leur première course.

Malheureusement, au baisser du drapeau, je cale. Cela met une belle pagaille dans le peloton, mais heureusement, personne ne me percute. La course s'arrête là pour moi. Luigi ne va guère plus loin, Sa suspension se brise net au moment où il met une roue sur le bas-coté en tentant de résister à l'attaque de Warson.

Le texan prend alors le large, harcelé par Fittipaldi. Mais le Brésilien sort de la piste et y laisse son capot avant. Il sera plus tard victime de soucis de moteur.

Parti sagement, Christian Ethuin vient se glisser entre les deux Vaillante sur le podium. Mes amis Pierre Scheller et McLeod prennent les accessits, tandis que Priori en limitant les dégâts gagne juste assez de points pour prendre la tête du Trophée Auto-Sprint !

Les Lola-BRM ont déçu. Beaucoup de petits soucis désagréables limitent leur vitesse, et elles terminent anonymement dans le classement.

The Dutch GP having been canceled for safety reasons, the automobile club of Rome obtained from the CSI the holding of a race in Vallelunga. The race is funded by Marlboro Italy, but the F1CA teams hear the sulk, except of course BRM. Suddenly, it does not count for the World Championship. On the other hand, Auto-Sprint decides to include it in its Trophy, and about twenty COEGPI cars make the trip.

Scuderia Centro Sud dominated qualifying, Luigi Mennella taking pole position and Steve McQueen 4th. I climb onto the first row in front of Steve Warson. Fittipaldi, Vaillant and Ethuin precede the already very competitive Lola-BRMs for their first race.

Unfortunately, when the flag was lowered, I stalled. It messes up the peloton, but luckily no one bumps into me. The race ends there for me. Luigi does not go much further, his suspension breaks dead when he puts a wheel on the roadside while trying to resist Warson's attack.

The Texan then takes off, harassed by Fittipaldi. But the Brazilian leaves the track and leaves his front cover there. He will later be the victim of engine problems.

Starting wisely, Christian Ethuin slips between the two Vaillantes on the podium. My friends Pierre Scheller and McLeod take the runners-up, while Priori by limiting the damage wins just enough points to take the lead in the Auto-Sprint Trophy!

The Lola-BRMs disappointed. Lots of nasty little issues limit their speed, and they end up anonymously in the leaderboard.

Results and Auto-Sprint Trophy standings

LVIII Grand Prix de France
Clermont-Ferrand
dimanche 2 juillet 1972
38 tours x 8.055 km - 306.090 km

Le Grand Prix des Pays-Bas a été annulé car le circuit de Zandvoort est en travaux afin d'améliorer les infrastructures et la sécurité. Un mois s'écoule donc entre les Grands Prix de Belgique et de France.
Le Grand Prix de France fait pour la quatrième fois escale sur le circuit de Charade et ses cinquante-deux virages à flanc de montagne. Mais ce devrait être la dernière édition disputée sur ce circuit car la FFSA lui préfère nettement la piste du Castellet et ses infrastructures modernes.
Les 10 et 11 juin, Matra a triomphé aux 24 heures du Mans grâce à Graham Hill et Henri Pescarolo, vainqueurs devant un autre équipage Matra composé de Howden Ganley et François Cevert. La firme française est enfin parvenue au plus haut niveau du sport automobile. Toutefois, en Formule 1, ses résultats sont médiocres. En cinq courses, Chris Amon n'a pu inscrire que deux points. Pour ce Grand Prix, le constructeur français est décidé à frapper un grand coup: réaliser le « doublé »: 24 heures du Mans – GP de France. Georges Martin, Bruno Morin et consorts se sont retroussés les manches pour préparer à temps la M120 D, une monoplace bénéficiant d'une coque aux formes moins anguleuses et surtout plus légère de quinze kilos que la version C.
Ces 24 heures du Mans ont été aussi perturbées par la tragique disparition de Joakim Bonnier. A 42 ans le président du GPDA était avec Jackie Stewart l'un des coureurs les plus engagés dans la lutte pour améliorer la sécurité. En près de vingt années de compétition, le Suédois avait vu disparaître une bonne moitié de ses compagnons sur les circuits. La faucheuse a fini par l'enlever à son tour...
Elf-Tyrrell présente à l'occasion de cette course sa nouvelle voiture, la 005. Son concepteur Derek Gardner s'est inspiré sans l'avouer de la Lotus 72. Cette monoplace a en effet une allure cunéiforme, même si elle conserve un radiateur frontal. On note surtout les quatre freins montés à bord du châssis, option aussi inspirée par Lotus mais abandonnée par Colin Chapman depuis l'accident mortel de Jochen Rindt, un an et demi auparavant. Jackie Stewart est de retour derrière le volant mais, du fait de sa maladie, n'a pu tester la 005 qui est donc dévolue à François Cevert tandis qu'il se contente de la 003. Enfin, François Guiter a persuadé Ken Tyrrell d'engager une 004 pour le jeune protégé d'Elf, Patrick Depailler, un Auvergnat de 28 ans qui court donc ainsi « à domicile ».
Parmi les autres innovations techniques, les trois Lotus 72D utilisent maintenant un réservoir d'huile de forme conique monté en porte à faux à l'arrière de la voiture, ce dont seul Fittipaldi disposait jusqu'alors. On note aussi sur la McLaren et sur les Ferrari que les ailerons arrière sont été sensiblement reculés. DU côté de Brabham, Ralph Bellamy adapte la suspension de la BT37 de Reutemann à la boîte de vitesses Hewland FG400
Chez BRM, Beltoise dispose d'une nouvelle P160B équipée des suspensions de la P180. Mais finalement il choisit d'utiliser son modèle habituel, et laisse la nouvelle voiture à Helmut Marko.
Enfin la Tecno présente un nouveau museau inspiré de celui de la Matra. Derek Bell est à son volant en remplacement de Nanni Galli.
Chez Ferrari on note l'absence de Clay Regazzoni qui s'est blessé au poignet gauche... en jouant au football avec ses mécaniciens. Enzo Ferrari a piqué une colère contre son pilote qu'il accuse d'être un jouisseur. Il est vrai que Regazzoni se fait plus remarquer par ses plaisanteries et par ses frasques que par son professionnalisme. Pilote pourtant très doué, il n'a pas vraiment progressé depuis ses débuts en fanfare en 1970. Il n'a jamais pu prendre la mesure de l'ombrageux Jacky Ickx. En tout cas, c'est Nanni Galli qui a été choisi pour le remplacer. Ce choix n'est pas sans ironie puisqu'à Nivelles, c'est ce même Galli qui, au volant d'une Tecno, a harponné Regazzoni alors second de l'épreuve...
Peter Revson est également absent car il participe à une course américaine. Comme à Monaco, il est remplacé par Brian Redman.
March a abandonné sa 721X qui est un échec retentissant. En catastrophe, Alan Rees a décidé de reprendre la 721G construite par l'écurie de Mike Beuttler à partir d'un châssis de Formule 2. C'est ainsi que Ronnie Peterson et Niki Lauda pilotent ces deux voitures hybrides à compter de l'épreuve de Charade.
La Scuderia Scribante sud-africaine apparaît en Europe avec son pilote fétiche Dave Charlton, lequel conduit une Lotus 72D.Le Grand circuit de 8 km aidant, les organisateurs n'ont pas limité les places au départ, et les écuries COEGPI ont afflué pour porter le nombre total de participants à 52 ! On y retrouve toutes les écuries basées en France, mais aussi des voisins italiens, belges et Suisses.

Les essais sont favorables aux couleurs locales, Michel Vaillant décrochant la pole position devant une autre V12 française la Matra de Chris Amon.
Deux pilotes français occupent la deuxième ligne, François Cevert et son beau-frère JP Beltoise.
Stewart et Fittipaldi partagent la 3ème ligne devant la Vulkan de Pierre Sheller et ma Wookey.

Au baisser du drapeau, Amon parvient à prendre la tête de la course. Il la gardera jusqu'au dernier tiers de la course.

La course est animée par deux spectaculaires remontées. Celle de Ronnie Peterson d'abord qui durant les premiers tours s'extraie du peloton pour revenir sur les voitures de tête. Une fois dans les points, et sans doute ayant beaucoup tapé dans ses pneus et ses freins, le Suedois se contentera d'assurer sa 5ème place.

Pierre Sheller et Luigi Mennella auront des problèmes de boîte de vitesse qui les contraint à l'abandon.

François Cevert, quant à lui garde tranquillement sa troisième place jusqu'aux deux tiers de la course. Dans le dernier tiers, il déborde successivement Vaillant et Amon pour imposer sa Tyrrell devant les deux voitures françaises.

Au Championnat, Cevert rejoint Hulme à la seconde place avec 11 points de retardf sur moi, qui me suis contenté d'assurer la 4ème place après une course inspide.

The Dutch Grand Prix has been canceled because the Zandvoort circuit is under construction to improve infrastructure and safety. A month therefore elapses between the Belgian and French Grands Prix.
The Grand Prix de France is making a stopover for the fourth time on the Charade circuit and its fifty-two mountain-side bends. But it should be the last edition contested on this circuit because the FFSA clearly prefers the Castellet track and its modern infrastructures.
On June 10 and 11, Matra triumphed at the 24 Hours of Le Mans thanks to Graham Hill and Henri Pescarolo, winners ahead of another Matra team made up of Howden Ganley and François Cevert. The French firm has finally reached the highest level of motorsport. However, in Formula 1, its results are poor. In five races, Chris Amon could only register two points. For this Grand Prix, the French manufacturer is determined to strike a big blow: achieve the "double": 24 hours of Le Mans - GP of France. Georges Martin, Bruno Morin and others rolled up their sleeves to prepare the M120 D in time, a single-seater with a hull with less angular shapes and above all, fifteen kilos lighter than the C version.
These 24 Hours of Le Mans were also disrupted by the tragic disappearance of Joakim Bonnier. At 42, the president of the GPDA was with Jackie Stewart one of the most committed runners in the fight to improve safety. In nearly twenty years of competition, the Swede had seen a good half of his companions disappear on the circuits. The mower ended up removing it in turn ...
Elf-Tyrrell presents his new car, the 005, during this race. Its designer Derek Gardner was inspired without admitting it by the Lotus 72. This single-seater indeed has a wedge-shaped appearance, even if it retains a radiator frontal. We especially note the four brakes mounted on board the chassis, an option also inspired by Lotus but abandoned by Colin Chapman since the fatal accident of Jochen Rindt, a year and a half earlier. Jackie Stewart is back behind the wheel but, due to his illness, could not test the 005 which is therefore reserved for François Cevert while he is content with the 003. Finally, François Guiter persuaded Ken Tyrrell to enter a 004 for the young protégé of Elf, Patrick Depailler, a 28-year-old Auvergnat who therefore runs “at home”.
Among other technical innovations, the three Lotus 72Ds now use a conical-shaped oil tank mounted cantilevered at the rear of the car, something that only Fittipaldi had until then. We also note on the McLaren and Ferrari that the rear fins have been significantly moved back. On the Brabham side, Ralph Bellamy adapts the suspension of Reutemann's BT37 to the Hewland FG400 gearbox
At BRM, Beltoise has a new P160B equipped with the P180 suspensions. But in the end he chose to use his usual model, and left the new car to Helmut Marko.
Finally, the Tecno presents a new muzzle inspired by that of the Matra. Derek Bell is at the wheel, replacing Nanni Galli.
At Ferrari we note the absence of Clay Regazzoni who injured his left wrist ... while playing football with his mechanics. Enzo Ferrari is angry with his driver whom he accuses of being a pleasure-seeker. It is true that Regazzoni is noticed more for his jokes and his escapades than for his professionalism. Yet a very talented driver, he has not really progressed since his debut with fanfare in 1970. He has never been able to take the measure of the gloomy Jacky Ickx. In any case, it was Nanni Galli who was chosen to replace him. This choice is not without irony since at Nivelles, it is this same Galli who, at the wheel of a Tecno, harpooned Regazzoni then second in the event ...
Peter Revson is also absent because he participates in an American race. As in Monaco, he is replaced by Brian Redman.
March abandoned his 721X which was a resounding failure. In disaster, Alan Rees decided to take over the 721G built by Mike Beuttler's team from a Formula 2 chassis. This is how Ronnie Peterson and Niki Lauda drive these two hybrid cars from the event. by Charade.
The South African Scuderia Scribante appears in Europe with its favorite driver Dave Charlton, who drives a Lotus 72D.

With the help of the 8 km Grand Circuit, the organizers did not limit the places at the start, and the COEGPI teams flocked to bring the total number of participants to 52! There are all the stables based in France, but also Italian, Belgian and Swiss neighbors.

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The qualifications are favorable to the local colors, Michel Vaillant taking pole position in front of another French V12, the Matra of Chris Amon.
Two French pilots occupy the second row, François Cevert and his brother-in-law JP Beltoise.
Stewart and Fittipaldi share the 3rd row ahead of Pierre Sheller's Vulkan and my Wookey.

When the flag is lowered, Amon manages to take the lead in the race. He will keep it until the last third of the race.

The race is animated by two spectacular lifts. That of Ronnie Peterson first, who during the first laps extricated himself from the peloton to return to the leading cars. Once in the points, and no doubt having hit his tires and brakes a lot, the Swede will be content to secure his 5th place.

Pierre Sheller and Luigi Mennella will have gearbox problems which will force them to retire.

François Cevert, for his part, quietly kept his third place until two thirds of the race. In the last third, he successively overwhelmed Vaillant and Amon to impose his Tyrrell in front of the two French cars.

In the Championship, Cevert joined Hulme in second place with 11 points behind me, who contented myself with securing 4th place after an inspiring race.

Vainqueur


Résultats de la Course


Championnat du monde des conducteurs


Championnat du monde des constructeurs

Après la course, Vulkan annonce une conférence de presse non prévue. Les journalistes s'y précipitent, certains autant pour le fameux buffet sud-américain que pour les informations. Pourtant celles-ci vont faire beaucoup d'effet.
Pierre Sheller annonce que, prochainement chargé de famille et aussi responsable de beaucoup d'activités de l'ensemble Vulkan-Oriente, il a décidé de mettre un terme à sa carrière de pilote de F1 en ce soir du Grand Prix de France. On ne verra plus la Vulkan au "pied" noir. Il a décidé de s'intéresser de près au Sport Prototype et prendra officiellement demain de nouvelles responsabilités dans la Holding.
Derrière Pierre se tient un jeune homme en tenue de pilote. Il est bien connu des connaisseurs car il vient de prendre part à la course où il a fini 34ème après avoir dû changer son avant après avoir touché un concurrent, mais c'est surtout le 3ème pilote et l'essayeur de la marque. Ahmed Ben Messaoud dit « Moro », dit aussi "Nimbus" par antithèse, est âgé d'une vingtaine d'années. Il fait des études de physique par correspondance, mais c'est aussi un très bon pilote car il "sent" la voiture et c'est un metteur au point exceptionnel.
Pierre dit qu'il cède volontiers son siège à Moro, qui l'a accompagné depuis les "années noires" et qu'il considère comme son petit frère. Quand Au poste de 2ème pilote, il sera confié jusqu'à la fin de la saison à Dave Charlton qui a montré en Italie tout son talent. Pierre espère qu'avec ces deux pilotes, l'on va rapidement résoudre les défauts techniques qui ont tant de fois handicapé les Vulkan. Le poste de 3ème pilote sera confié jusqu'à la fin de la saison à Marito Garcia car l'on a besoin d'un pilote essayeur de talent et que nul ne peut remplacer son expérience auprès de Oreste Berta.
Pierre annonce aussi que Jean-Pierre Lebel l'accompagnera chez Vulkan Sport et que Vulkan Course préparera une écurie spéciale avec des partenaires américains pour les courses Indy-cars avec des pilotes issus de Vulkan Future.

 

After the race, Vulkan announces an unscheduled press conference. Journalists rush there, some as much for the famous South-American buffet as for the news. Yet these will have a lot of effect.
Pierre Sheller announces that, soon to be responsible for the family and also responsible for many activities of the whole Vulkan-Oriente, he has decided to put an end to his career as an F1 driver on this evening of the French Grand Prix. We will no longer see the Vulkan with the black "foot". He has decided to take a close interest in the Sport Prototype and will officially take on new responsibilities in the Holding tomorrow.
Behind Pierre stands a young man in pilot's outfit. He is well known to connoisseurs because he has just taken part in the race where he finished 34th after having to change his front after having touched a competitor, but he is above all the 3rd driver and the tester of the brand. Ahmed Ben Messaoud said "Moro", also called "Nimbus" by antithesis, is twenty years old. He studies physics by correspondence, but he is also a very good driver because he "feels" the car and he is an exceptional tune-up.
Pierre says he willingly cedes his seat to Moro, who has accompanied him since the "dark years" and whom he considers his little brother. When At the position of 2nd driver, he will be entrusted until the end of the season to Dave Charlton who has shown all his talent in Italy. Pierre hopes that with these two pilots, we will quickly resolve the technical faults which have so often handicapped the Vulkans. The position of 3rd driver will be entrusted until the end of the season to Marito Garcia because we need a talented test driver and no one can replace his experience with Oreste Berta.
Pierre also announces that Jean-Pierre Lebel will accompany him to Vulkan Sport and that Vulkan Course will prepare a special team with American partners for Indy-car races with drivers from Vulkan Future.

À partir de 1948, le nom Chiacchierini a commencé à apparaître sur les grilles de course. Richard Chiacchierini de Watkins Glen, NY faisait sensation dans son Alfa 8C. Il s'était classé dans plusieurs épreuves nord-américaines avant de concourir en Europe pour Alfa Romeo.

En 1958, Ferrari a signé le compagnon pilote pour son effort d'usine 250 Testarossa. Conduisant bien pour Ferrari, il s'est rapidement lié d'amitié avec Enzo et sa société et, utilisant une certaine influence financière, a réussi à acheter plusieurs voitures de course « Factory » pour sa propre équipe.

Conduire pour Cooper en 1958, Sterling Moss a été impressionné par sa connaissance de la voiture. Alors que les années 60 battaient leur plein, la Scuderia Chiacchierini alignait des Testarossas, 250 GTO et 250 LM aux côtés de Shelby Cobras et de Daytona Coupés.

Richard a commencé à employer son fils Paul pour conduire à ses côtés et a convaincu Colin Chapman de lui faire faire un tour en F2 en 1965. Chapman a été impressionné et a offert un essai de Formule 1 pour les 18 ans à l'USGP de 1967 sur sa piste natale de Watkins Glen.

Paul a également couru une Scuderia 312 en Afrique du Sud en 1968. Martini a décidé de sponsoriser une Works Spec Lotus 49B et il a couru plusieurs événements en 1968. En 1969, Ferrari a fourni une usine 312/68 pour certaines courses du Championnat du monde.

Devenant de plus en plus expérimenté, Richard a pensé qu'il était temps de courir la coupe du monde d'endurance avec son fils. Il a décidé qu'ils participeraient aux 6 heures de Watkins Glen dans l'usine préparée 330 P4. Ils se sont classés 4e au général et premier de la classe. En 1970, les 2 courraient une saison complète avec une 512M préparée en usine aux couleurs de la SpA Chiacchierini et finiraient 4e du championnat. Paul a également participé à la série Can Am et a remporté le championnat SCCA de Formule 5000 dans sa Lotus 70 à moteur Ford, sponsorisée par Martini.

1971 a apporté de nouveaux défis et de nouvelles distinctions alors que l'équipe a remporté les 24 heures de Daytona, les 12 heures de Sebring et les 6 heures de Watkins Glen pour remporter le championnat d'endurance général. Les SpA Chiacchierini Factory 512CL et 512M ont brillamment performé.

Paul se débrouillait et de plus grandes opportunités se présentaient. Advanced Vehicle Systems et l'attrait de l'argent Can Am étaient trop importants. Paul a signé un contrat pour conduire aux côtés de Jackie Oliver dans l'UOP Shadows. Paul s'est séparé de Martini Sponsorship et a lancé Chiacchierini Racing Limited (CRL), une spin-off de la Scuderia Chiacchierini. Aston Martin les a approchés pour tester un nouveau moteur Endurance 3L. Paul a donc acheté une Tyrrell 002 comme banc d'essai et a participé à des événements hors championnat du calendrier de Formule 1 de 1973.

Scuderia Chiacchierini, s'est épanouie dans les courses d'endurance. En 1975, l'équipe a acheté 2 nouvelles voitures 312T F1 de Ferrari.
 

Starting in 1948, the Chiacchierini name started popping up on racing grids. Richard Chiacchierini from Watkins Glen, NY was making a splash in his Alfa 8C. He had placed in several North American events before competing in Europe for Alfa Romeo.

In 1958, Ferrari signed the journeyman driver for its 250 Testarossa factory effort. Driving well for Ferrari, he became fast friends with Enzo and company and using some financial influence, managed to purchase several “Factory” race cars for his own team.

Driving for Cooper in 1958 Sterling Moss was impressed by his car knowledge. As the 60’s were in full swing Scuderia Chiacchierini was fielding Testarossas, 250 GTOs and 250 LMs along side Shelby Cobras and Daytona Coupes.

Richard started employing his son Paul to drive along side and convinced Colin Chapman to give him a F2 ride in 1965. Chapman was impressed and offered a Formula 1 trial for the 18yo at the 1967 USGP at his home track of Watkins Glen.

Paul also raced a Scuderia 312 at South Africa in 1968. Martini decided to sponsor a Works Spec Lotus 49B and he raced several events in 1968. In 1969 Ferrari supplied a works 312/68 for select races in the World Championship.

Becoming more and more experienced, Richard thought it was time to run the world endurance cup with his son. He decided they would enter the Watkins Glen  6 Hours in the Factory prepared 330 P4. They placed 4th overall and first in Class. In 1970 the 2 would race a full season with a Factory prepared 512M wearing SpA Chiacchierini colors they would finish 4th in the Championship. Paul also competed in the Can Am series and won the SCCA Formula 5000 Championship in his Ford powered, Martini sponsored Lotus 70.

1971 brought new challenges and new accolades as the team won the Daytona 24 Hours, the Sebring 12 Hours and the Watkins Glen 6 Hours to win the overall endurance Championship. The SpA Chiacchierini Factory 512CL and 512M performed brilliantly.

Paul was coming into his own and bigger opportunities were knocking. Advanced Vehicle Systems and the lure of Can Am money was too great. Paul signed a contract to drive along side Jackie Oliver in the UOP Shadows. Paul split off with Martini Sponsorship and started Chiacchierini Racing Limited (CRL) a spin-off of Scuderia Chiacchierini. Aston Martin approached them about testing a new Endurance 3L engine, so Paul purchased a Tyrrell 002 as the test bed and entered Non-Championship events in the 1973 Formula One calendar.

Scuderia Chiacchierini, flourished in endurance racing. In 1975, the team purchased 2 brand new 312T F1 cars from Ferrari.

7ème épreuve du Championnat du Monde des Conducteurs
XXV British Grand Prix
Brands Hatch
samedi 15 juillet 1972
76 tours x 4.265 km - 324.140 km
(également Grand Prix d'Europe)

Bilan à mi-saison

Le championnat du monde 1972 arrive à mi-parcours. Avec 30 points inscrits, les journalistes me pensent bien parti pour remporter le titre mondial. La Wookey PNB72 est au meilleur niveau et a de plus gagné en fiabilité. Cette campagne s'annonce donc victorieuse pour l'équipe provençale, même si le second pilote Jean-Pierre Jaussaud déçoit énormément, alternant malchance et contre-performances.

Mon principal rival est jusqu'ici François Cevert qui a pris l'ascendant sur Jackie Stewart. L'Écossais n'est pas au mieux physiquement depuis son ulcère à l'estomac, mais il demeure un adversaire redoutable comme l'a prouvé son succès en Espagne. Chez Lotus, Fittipaldi a laissé entrevoir de belles qualités, mais la Lotus pèche (comme souvent) par son manque d'endurance, et les abandons sont plus nombreux que les performances.

La Scuderia Ferrari n'apparait pas comme une rivale très sérieuse. La 312 B3 ne roulera sans doute pas avant la fin de l'année, et Jacky Ickx doit se contenter de la médiocre B2.
McLaren a beaucoup progressé depuis 1971, en partie grâce à son étonnant duo de pilotes, composé de l'austère Denny Hulme et du « playboy » américain Peter Revson, mais ceux-ci demeurent de simples outsiders. D'ailleurs, Hulme est affaibli par un accident dont il a été victime en CanAm et devrait souffrir durant le week-end britannique. Malgré les étonnantes performances de Mike Hailwood, l'équipe Surtees ne peut elle aussi viser guère plus haut.
Vaillante, Vulkan, malgré une superbe victoire et surtout SCS sont hors du sujet suite à une succession de malchance et de casses mécaniques. Ils restent cependant rapides, et avec un peu de chance pourraient surprendre.

Enfin, Matra et BRM sont maintenant deux équipes en crise qui n'attendent plus grand chose de cette saison. Matra, surtout. La terrible malchance qui a frappé Chris Amon à Charade tandis qu'il était en route vers la victoire a démoralisé les hommes de Vélizy. Dans la coulisse, il se dit que Marcel Chassagny et Jean-Luc Lagardère auraient décidé d'abandonner la Formule 1 à la fin de la saison.

Présentation de l'épreuve

Le Grand Prix de Grande-Bretagne retrouve le chemin du bosselé circuit de Brands-Hatch. Comme souvent cette course est l'occasion de voir l'apparition de nouveaux pilotes et de nouvelles voitures. Lotus voulait engager une troisième voiture officielle pour le champion 1970 de F3 britannique Tony Trimmer tandis que l'équipe Speed International a inscrit une March 711 pour le pilote anglais Ray Allen. Mais cette dernière participation a été abandonnée.

Chez Vulkan, et conformément aux accors passés avec Peter Connew, une voiture est laissée à l'équipe de l'ingénieur britannique. Connew qui n'a pas un cent d'avance confie la voiture au pilote le plus offrant, à savoir le Français François Migault, ancien vainqueur du volant Shell et soutenu par cette compagnie pétrolière. Dans l'équipe "A" c'est le jeune Moro qui prend le baquet de Pierre qui a annoncé son retrait de la compétition. Quant à Dave Charlton, il renonce à la troisème voiture pour s'aligner au volant de sa propre Lotus 72 aux couleurs de Lucky Strike.

Mais l'attraction du week-end est la Politoys engagée par Frank Williams pour Henri Pescarolo. Cette voiture conçue par Len Bailey s'inspire de la Tyrrell 001 et est la première tentative de Frank Williams de créer sa propre monoplace. Elle est réservée à Henri Pescarolo, Carlos Pace se contenant de la March.

La crise couve chez BRM. L'équipe britannique est dans une impasse technique depuis l'échec de la P180 et doit se contenter de P160 hybrides. Mais ces voitures manquent cruellement de puissance. Sans l'héroïque course de Maro à Kyalami, BRM n'aurait pas inscrit le moindre point. Surtout, les hommes de Tim Parnell ne peuvent plus entretenir cinq voitures par course... Il est nécessaire de concentrer les forces sur des machines moins nombreuses mais mieux préparées. Reine Wisell et Howden Ganley sont provisoirement mis à pied. Jean-Pierre Beltoise pilote une nouvelle P160C, une version disposant d'un nouveau nez. Peter Gethin et le revenant Jackie Oliver pilotent deux P160B. Oliver est en effet disponible pour un intérim et a apparemment oublié les frictions qui l'ont opposé à Parnell et à Louis Stanley en 1970. Il remplace le malheureux Autrichien Helmut Marko, perdu pour le sport automobile après une grave blessure à l'œil survenue en France.

Chez Ferrari c'est le débutant Arturo Merzario qui remplace cette fois Clay Regazzoni tandis que la participation de Mario Andretti est annulée, l'Américain devant disputer une course aux USA. Peter Revson revient au volant de la deuxième McLaren après l'intérim de Brian Redman à Charade. Enfin, Nanni Galli fait son retour au volant de la Tecno après son intérim chez Ferrari.

Fittipaldi dispose désormais d'un atout de choix puisque Firestone a décidé d'offrir à JPS Lotus le traitement préférentiel qu'elle réservait jusqu'alors à Ferrari. La Lotus 72 dispose désormais de pneus arrière de quatorze pouces de large et gagne encore en efficacité.

Tyrrell amène la nouvelle 005, cette fois-ci confiée à Jackie Stewart. Mais suite à une défaillance de freins, celui-ci est victime d'un accident et doit se contenter de la 003 pour la course, tandis que François Cevert pilote toujours la 002. De son côté Chris Amon a détruit la nouvelle Matra MS120D apparue à Charade et doit donc remonter dans la 120C.

Les essais

Comme toujours les Vaillante et les SCS animent les essais qualificatifs, mais la pole échoit finalement à Fittipaldi, qui tire le meilleur parti de ses Firestone. Je parviens à me hisser à ses côtés sur la première ligne devant les Vaillante et un étonnant Steve McQueen, qui étonne de course en course.

La course
Le Dimanche, il fait un temps radieux et j'espère profiter de mes pneus radiaux Michelin pour tenir la distance et accélérer sur la fin quand les Firestone de la Lotus commenceront à faiblir. Une ondée en fin de matinée rafraichit cependant la piste et Fittipaldi s'envole dès le départ et me prend rapidement une poignée de seconde. Très vite je comprends qu'il modèle sa course sur la mienne et ne me laissera pas revenir. Dès lors,, je me contente d'assurer les points de la deuxième place. Nous sommes à mi saison, et il faut commencer à calculer. Derrière moi, Steve McQueen fait une course de métronome, et pour une fois, sa SCS survit à la course, ce qui l'amène sur le podium, devant les deux Tyrrells et la Ferrari de Jacky Ivkx qui a fait une course solide avec une monoplace clairement au dessous de ses adversaires.

Mid-season review

The 1972 world championship comes halfway through. With 30 points scored, the journalists think I'm on my way to winning the world title. The Wookey PNB72 is at the best level and has also gained in reliability. This campaign promises to be victorious for the Provencal team, even if the second driver Jean-Pierre Jaussaud is a huge disappointment, alternating bad luck and poor performance.

My main rival so far has been François Cevert, who has gained the upper hand over Jackie Stewart. The Scotsman is not at his best physically since his stomach ulcer, but he remains a formidable opponent as his success in Spain has proven. At Lotus, Fittipaldi gave a glimpse of good qualities, but the Lotus sins (as often) by its lack of endurance, and the retirements outnumber the performances.

Scuderia Ferrari does not appear to be a very serious rival. The 312 B3 will probably not run before the end of the year, and Jacky Ickx has to settle for the mediocre B2.
McLaren has come a long way since 1971, in part thanks to its astonishing duo of drivers, made up of the austere Denny Hulme and the American “playboy” Peter Revson, but they remain mere outsiders. Moreover, Hulme is weakened by an accident he suffered in CanAm and should suffer during the British weekend. Despite Mike Hailwood's astonishing performances, the Surtees team also cannot aim much higher.
Valiant, Vulkan, despite a superb victory and especially SCS, are out of the question following a succession of bad luck and mechanical breakdowns. They remain fast, however, and with a bit of luck could come as a surprise.

Finally, Matra and BRM are now two teams in crisis who do not expect much from this season. Matra, above all. The terrible bad luck that struck Chris Amon in Charade as he was en route to victory demoralized Vélizy's men. Behind the scenes, it is said that Marcel Chassagny and Jean-Luc Lagardère have decided to abandon Formula 1 at the end of the season.

Presentation of the event

The British Grand Prix finds its way back to the bumpy Brands-Hatch circuit. As often, this race is an opportunity to see the appearance of new drivers and new cars. Lotus wanted to enter a third official car for 1970 British F3 champion Tony Trimmer while the Speed ​​International team entered a March 711 for English driver Ray Allen. But this last participation was abandoned.

At Vulkan, and in accordance with agreements made with Peter Connew, a car is left to the British engineering team. Connew who does not have a cent in advance entrusts the car to the driver with the highest bid, namely the Frenchman François Migault, former winner of the Shell steering wheel and supported by this oil company. In the "A" team it is the young Moro who takes the seat from Pierre who announced his withdrawal from the competition. As for Dave Charlton, he gives up the third car to line up behind the wheel of his own Lotus 72 in the colors of Lucky Strike.

But the attraction of the weekend is the Politoys hired by Frank Williams for Henri Pescarolo. This car designed by Len Bailey is inspired by the Tyrrell 001 and is Frank Williams' first attempt to create his own single-seater. It is reserved for Henri Pescarolo, Carlos Pace containing March.

The crisis is brewing at BRM. The British team has been at a technical stalemate since the failure of the P180 and has to settle for P160 hybrids. But these cars are sorely lacking in power. Without the heroic race from Maro to Kyalami, BRM would not have scored a single point. Above all, Tim Parnell's men can no longer maintain five cars per race ... It is necessary to concentrate the forces on fewer but better prepared machines. Queen Wisell and Howden Ganley are on temporary layoff. Jean-Pierre Beltoise is piloting a new P160C, a version with a new nose. Peter Gethin and the revenant Jackie Oliver pilot two P160Bs. Oliver is indeed available for an interim and has apparently forgotten the friction that opposed him to Parnell and Louis Stanley in 1970. He replaces the hapless Austrian Helmut Marko, lost to motorsport after a serious eye injury. in France.

At Ferrari it is the rookie Arturo Merzario who this time replaces Clay Regazzoni while the participation of Mario Andretti is canceled, the American having to compete in a race in the USA. Peter Revson returns to the wheel of the second McLaren after Brian Redman's interim at Charade. Finally, Nanni Galli is back behind the wheel of the Tecno after his interim at Ferrari.

ittipaldi now has an advantage of choice since Firestone has decided to offer JPS Lotus the preferential treatment it had previously reserved for Ferrari. The Lotus 72 now has fourteen inch wide rear tires and is even more efficient.

Tyrrell brings the new 005, this time entrusted to Jackie Stewart. But following a brake failure, he was the victim of an accident and had to settle for the 003 for the race, while François Cevert still piloted the 002. For his part, Chris Amon destroyed the new Matra MS120D appeared at Charade and must therefore go up in the 120C.

Qualifications
As always the Vaillante and the SCS animate the qualifying practice, but the pole ultimately falls to Fittipaldi, who makes the most of his Firestones. I manage to climb up alongside him on the first row in front of the Vaillantes and an astonishing Steve McQueen, who amazes from race to race.

The race
On Sunday, the weather is brilliant and I hope to take advantage of my Michelin radial tires to go the distance and accelerate towards the end when the Lotus Firestones start to weaken. A shower at the end of the morning however refreshes the track and Fittipaldi flies away from the start and quickly takes me a handful of seconds. Very quickly I understand that he models his race on mine and will not let me come back. Therefore, I content myself with securing the points for second place. We are halfway through the season, and we have to start calculating. Behind me Steve McQueen is doing a metronome race, and for once his SCS survives the race, which brings him to the podium, ahead of the two Tyrrells and Jacky Ivkx's Ferrari who did a solid race with a single-seater clearly below its opponents.

Le vainqueur : EMerson Fittipaldi sur Lotus 72D


Les Résultats du GP de Grande-Bretagne


Le point au Championnat du monde des Conducteurs


Championnat des Constructeurs

A la suite de véhémentes réclamations de la GPDA, le GP des Pays-Bas a été annulé et de lourds travaux ont été demandés à ses organisateurs. Pour financer ces travaux, le sponsoring de Shell ne suffisant pas, une course a été organisée dont les bénéfices devaient être reversés pour ces travaux. La course appelée "Zandvoort Foundation Race" est organisée sur de grandes routes hollandaises avec de larges dégagements assurant une relative sécurité.

Pas une seule écurie de la F1CA ne daigne faire le déplacement, mais la COEGPI répond présent, espérant un retour d'ascenseur pour le Grand Prix officiel de 1973. C'est donc tout de même 26 voitures qui prennent le départ.

Parti en pole, Steve Warson s'envole dès le départ et gagne confortablement la course. McLeod prend la seconde place, confirmant qu'il se focalise désormais sur ce trophée. Je dois céder la troisième place à Christian Ethuin, mais nous repassons tout deux devant Riccardo Priori au Trophée Autosprint.

A trois course de la fin, rien n'est joué puisque Vaillant 6ème au classement n'est qu'à 9 points de moi.

Following vehement complaints from the GPDA, the Dutch GP was canceled and heavy work was required of its organizers. To finance this work, the sponsorship of Shell not being sufficient, a race was organized whose profits were to be donated for this work. The race called "Zandvoort Foundation Race" is organized on main Dutch roads with wide clearances ensuring relative safety.

Not a single F1CA team deigns to make the trip, but the COEGPI responds, hoping for a comeback for the official Grand Prix of 1973. It is therefore all the same 26 cars which take the start.

Starting from pole, Steve Warson took off from the start and comfortably won the race. McLeod takes second place, confirming that he is now focusing on this trophy. I have to give up third place to Christian Ethuin, but we both pass Riccardo Priori at the Autosprint Trophy.

With three races to go, nothing is settled since Vaillant 6th in the standings is only 9 points behind me.

Vainqueur


Résultats


Trophée Auto-Sprint

Après 18 mois à reconstruire sa situation en Andorre, "Razor Ramon" est de retour, mais cette fois sous son vrai nom Miguel Garcia. Il a participé plus tôt dans la saison à certaines courses de voitures de sport-prototypes en tant que deuxième pilote pour améliorer sa forme. Il ajoute un peu d'argent de son « Hôtel Caribou » au Pas de la Case, à la frontière franco-andorrane. Et il courra sous les couleurs or et azur mexicaines.
Pour le moment, l'accord apporte à peine assez d'argent pour le GP d'Allemagne.

After 18 months rebuilding his situation in Andorra, "Razor Ramon" is back, but this time under his true name Miguel Garcia. He participated earlier in the season in some Sports car events as a second driver to bring up his shape. He adds some money from his "Hotel Caribou" in Pas de la Casa, at the French-Andorran border. And will run under Mexican colors.
For the moment the deal is bringing barely enough money for the German GP.